Post de Raphaël : Kyoto
Aujourd’hui, après 2h de shinkansen, nous débarquons sur Kyoto, accueilli par le joyeux Tadashi. Kyoto, ancienne capitale impériale, avec ses mystères, ses geikos…Et la première chose que l’on voit en descendant les marches de la gare, c’est une satue d’astroboy !
Bon heureusement nous avons trouvé de quoi relever le niveau dans le rues typiques de l’ancienne capitale. Au beau milieu des magasins et des jeunes habillés branché, nous trouvons des japonais en yukata, cet habit léger si adapté à la chaleur et l’humidité ambiante. Bien sûr, outre les grands magasins, nous avons le loisir de nous laisser guider dans des rues traditionnelles, préservées de l’évolution environnante. Les constructions en bois sont conçues pour préserver l’humidité, tout est pensé pour être en harmonie avec l’environnement tout en étant habitable.
Ce sont dans les rues de Gion que nous espérons croiser le chemin de maikos ou de geikos. Malheureusement nous n’en croisant qu’une, déjà harcelée par une foule d’individu peu scrupuleux photographiant sans avoir l’humble politesse de demander la permission.
Autre petite curiosité, les divers temples / sanctuaires de Kyoto. Ont dot « une fois qu’on en a vu un, on les a tous vu », et bien c’est vrai. Non, je plaisante. Il y a dans cette affirmation du faux comme du vrai. En effet les grands temples délimités par des toris rouges monumentaux sont en général très similaires. En revanche les petits temples / sanctuaires ont souvent leur petite histoire, que Tadashi, natif de Kyoto, se fait un plaisir de nous conter. Par exemple à droite, contre offrande, le japonais qui passe dans un sens sous l’arche en rampant abandonne ses mauvaises relations, et en rampant dans l’autre sens, en construit des nouvelles, bonnes cette fois.
Peut-on dire que le shintoïsme-bouddhisme des japonais est intéressé ? A la fois oui et non. Si la plupart des cérémonies ou prières se voient accompagnés d’offrandes sous forme de jet de pièces dans des urnes ou dans de petits lacs, c’est toujours pour la poche du temple qui continue ainsi d’exister.
Honte sur moi, je ne me rappelle pas des noms barbares pour mon inculture occidentale des temples visités hier (oui je n’écris l’article de la veille que maintenant, je prends du retard :’(), je tâcherai de mettre l’article à jour plus tard, j’ai gardé toutes les brochures des temples visités.
Pour conclure cet article, sachez que si l’entrée de la plupart des temples est payante, de un c’est pas cher (de 200 à 500 yens), de deux souvent le ticket d’entrée est estampillé d’un sceau qui, affiché sur un des murs de votre maison, vous apportera paix, prospérité dans votre foyer !
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