Arrivée à Tunis (post de plus d'un mois de retard)
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Effectivement, ce post arrive très tardivement... Mieux vaut tard que jamais, dit-on !
Un point sur le contexte : mon employeur, la SSLL Makina Corpus, a une agence à Tunis, où une partie de l'équipe travaille sur nos projets Drupal.
J'ai été désigné (sans force) pour aller passer un peu de temps là-bas afin de former mes collègues, travailler avec eux, renforcer la cohésion, etc.
Je suis donc parti dimanche 16 mai, dans l'après midi, dans l'objectif de passer une semaine de travail à Tunis, et avec l'occasion d'y passer le week-end prolongé de la Pentecôte.
Première étape : l'aéroport de Toulouse Blagnac. Mon vol via Tunisair décolle à 16h35. Pas de chance, il aura quasiment deux heures de retard.
Après deux heures trente de vol sans histoire, nous atterrissons, il fait presque nuit. Je retrouve Lilia, qui m'accompagnera jusqu'à l'hôtel Belvédère Fourati, en taxi.
Pas mécontent de faire mes premiers pas dans ce nouveau pays accompagné. Lilia me distille quelques conseils de base : laisser mes affaires les plus importantes à l'hôtel, ne pas porter mon portefeuille dans ma poche arrière de jean, rien de très engageant...
L'accueil à l'hôtel est exceptionnel (par rapport à ce à quoi je m'attendais, et ce dont j'avais l'habitude à Paris) : on porte ma valise jusqu'à ma chambre, on me sert un rafraîchissant...
Je découvre la chambre, spacieuse et propre, dîne à l'hôtel, puis me couche : une semaine de travail m'attend.
Lundi matin, 7h, première constatation : il fait beau, et chaud ! Bien meilleur que la veille. À peine les rideaux ouverts, le soleil inonde la chambre de lumière et de chaleur. Ça change du temps morose de Toulouse !
Je contemple la ville dehors : je suis bien ailleurs. Les palmiers ornent les bords de route, les bâtiments, blancs pour la plupart, ne montent pas très haut dans le ciel. L'horizon n'est pas le même.
Après m'être préparé et avoir pris un petit déjeuner copieux, j'affronte l'inconnu : je dois me débrouiller pour rejoindre les locaux, seuls, avec les indications que je viens d'obtenir par téléphone (je n'avais même pas la bonne adresse).
Je retire donc un peu d'argent, et cherche un taxi. Facile : les taxis sont presque plus nombreux que les voitures personnelles, impressionnant !
Je rentre dans la voiture, indique ma destination : 61 rue Alain Savary.
Argl, le chauffeur ne connait pas, alors je lui indique que c'est proche de la place Pasteur. Nous y allons. Après quelques détours, un appel à un collègue, nous arrivons à bon port. Stupéfaction : la course ne me coûtera que dans les 3 Dinars (moins de 2€).
Je rencontrerai ensuite mes collègues Sana, Nahed, Saber et Hichem, ainsi que les autres collaborateurs de Makina Corpus.
La suite de la semaine dans un prochain post.
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